Bianca Andreescu a le vent dans les voiles. En tant que Canadienne la mieux classée de l’histoire de la Women’s Tennis Association, l’athlète de 21 ans a parcouru le monde et remporté des tournois partout sur le globe, notamment l’US Open 2019, à New York, où elle a battu Serena Williams! 

Depuis, Bianca a dû ralentir ses activités à cause de la pandémie et à la suite de blessures, mais elle a repris du poil de la bête. Tout en maintenant le rythme effréné du tennis de compétition, elle s’est associée à une marque de voitures de luxe qui correspond tout à fait à son style de vie. «J’adore les designs de Cadillac. Plus jeune, je les trouvais très badass et bougie», explique Bianca depuis San José, en Californie, où elle s’entraîne en ce moment. «J’en conduis une depuis quelques années, alors j’étais super excitée quand j’ai appris qu’il y aurait un modèle Cadillac entièrement électrique.» Il s’agit de la Cadillac LYRIQ 2023, qui allie un design élégant à des caractéristiques écolos et durables. Une voiture digne d’une championne!

Bianca nous a parlé de ses choix écologiques, du voyage de ses rêves, et de la façon dont elle prend soin de sa santé mentale et physique.

Les caractéristiques qu’elle préfère de la Cadillac LYRIQ…

«La technologie Super Cruise permet la conduite mains libres sur l’autoroute; je peux donc boire de l’eau sans prendre de risques. La fonction qui supprime le bruit de la route est aussi vraiment bénéfique, parce qu’après l’entraînement, je suis fatiguée et je veux me recentrer. Parfois, je médite en conduisant – sans fermer les yeux, évidemment! C’est agréable d’avoir cet espace de tranquillité après une longue journée sur le terrain.»

Ses choix écologiques au quotidien…

«Lorsque je quitte une pièce, j’éteins les lumières. Et j’essaie d’utiliser le moins possible des bouteilles en plastique; comme je bois énormément d’eau, je traîne ma propre bouteille réutilisable. J’essaie également d’économiser l’eau – je ne prends pas beaucoup de bains, et mes douches sont très courtes.»

Son road trip de rêve…

«Je n’ai pas fait beaucoup de road trips, croyez-le ou non. J’ai vraiment envie de parcourir les États-Unis et de m’arrêter dans tous les États que je n’ai pas encore eu la chance de visiter. En ce moment, je n’ai pas beaucoup de temps pour ce genre d’évasion, mais si un jour je peux faire ce road trip américain – en caravane, avec quelques amis –, ce sera super cool.»

NORMAN WONG

Son compagnon de route préféré… 

«C’est Coco, ma chienne! Elle s’assoit sur le siège passager comme un petit humain. Elle est tellement patiente! Elle reste là pendant toute la durée du trajet. Parfois, elle est excitée et veut sauter sur mes genoux, mais je ne peux pas la laisser faire, parce que c’est dangereux. C’est trop mignon, cependant.»

L’importance de jouer devant une foule…

«Je me rappelle qu’à 17 ans, je participais à un tournoi à Kansas City, où personne ne venait nous voir jouer. Même avant la pandémie, je savais ce que c’était que de jouer devant des gradins vides. C’est difficile parce que je me nourris vraiment de la foule. Son énergie me fait revivre dans les moments difficiles. Si je fais un bon coup, je veux entendre la foule m’encourager. Ça me motive, parce que je ne pratique pas ce sport uniquement pour moi. Je veux aussi être là pour inspirer les autres.»

La culture qu’elle consomme…

«En ce moment, je regarde The OA et BoJack Horseman. En musique, j’aime écouter du hip-hop. La chanson de ma playlist que j’entends le plus souvent est Till I Collapse, d’Eminem. Elle est très inspirante et motivante. Quant aux podcasts, j’aime beaucoup écouter l’émission Mindvalley. L’animateur, Vishen Lakhiani, fait appel à de nombreux formateurs de haut calibre et à des chefs d’entreprise pour parler de leurs domaines respectifs. C’est super intéressant!»

Sa routine pour prendre soin d’elle-même…

«Les deux dernières années ont été assez difficiles pour moi à cause de mes blessures. Qui plus est, avec la pandémie, je n’ai pas pu participer à beaucoup de tournois cette année. J’ai aussi attrapé la COVID-19. De quoi être déprimée… Mais j’essaie de me sortir de cet état d’esprit en méditant. Ça m’aide à rester calme et dans le moment présent, parce que j’ai tendance à me perdre dans mes pensées et à me projeter dans l’avenir avec impatience. J’ai aussi commencé à tenir un journal, parce que ça me permet de rester concentrée. J’essaie d’être reconnaissante de tout ce que j’ai, même dans les périodes difficiles. Je fais un exercice de gratitude le matin avant de commencer ma journée, puis avant d’aller me coucher. C’est parfois difficile, mais… il faut être à l’aise dans l’inconfort, et c’est probablement l’une des plus grandes leçons que j’ai apprises au cours des derniers mois.»

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