1. De quel projet êtes-vous le plus fière? C’est tellement difficile à dire. Jusqu’ici, je pense que c’est d’avoir réalisé mon rêve de petite fille: travailler à ELLE QUÉBEC.

2. Quand avez-vous su que vous feriez ce métier-là? Du temps où j’étudiais à l’université, je dévorais mon Elle France à chaque parution. Je me rappelle clairement avoir un jour crié: «Je serai Alix Girod de l’Ain ou rien!» Bon, je ne suis pas et ne serai jamais [la journaliste, écrivaine et scénariste] Alix Girod de l’Ain, mais elle et moi travaillons aujourd’hui toutes les deux pour la même grande et belle famille des magazines Elle.

3. Quelle est votre tendance mode préférée cette saison? Le fait que le jean retrouve ses lettres de noblesse me met en joie. C’est LE vêtement le plus polyvalent qui soit! En ce qui concerne la sphère beauté, j’adore ce qu’ont présenté les défilés milanais. Ce printemps, ce sont les fards à paupières bleus chez Fendi, les cheveux délicatement ondulés chez Emilio Pucci et la déesse ibérique revue et corrigée par Dolce&Gabbana qui ont attiré mon attention. Autrement, je vois la vie en jaune côté décoration. Mon chum ne le sait pas encore, mais j’ai des projets de peinture pour la maison.

4. Quel conseil donneriez-vous à une jeune fille qui voudrait exercer votre métier? Ne jamais perdre de vue son objectif tout en étant honnête, respectueuse, humble et professionnelle. Le dur labeur finit toujours par payer.

5. Quelle est votre devise professionnelle? J’adore cette phrase de Norman Vincent Peale (un des pionniers de la pensée positive): «Shoot for the moon. Even if you miss, you’ll land among the stars.» C’est quand même plus poétique que «Think big!»

À DÉCOUVRIR:
Confessions de Angélique Martel, rédactrice en chef beauté, ELLE Québec
5 questions à Grace Lee, artiste maquilleuse pour Maybelline New York
5 questions à… Tiyana Grulovic, diretrice artistique d’Aritzia

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