Où? Comme il est situé à environ six heures d’auto de Montréal, dans la région du Saguenay, on y va pour une longue fin de semaine.
Quand? Surtout entre mai et octobre.
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Pourquoi? Selon Marie Vaillancourt, gestionnaire de contenu multiplateforme, le petit village de L’Anse-Saint-Jean est le secret le mieux gardé du Québec: «Il est niché au creux d’une vallée entre les villes de Saguenay et de Saint-Siméon, au bord du Saguenay, entre le fjord majestueux et les montagnes. Bref, la beauté du paysage est à couper le souffle.» Grâce à sa situation géographique particulière, on peut profiter tout autant de l’eau que de la montagne. «J’adore y pratiquer le kayak, raconte Marie. Avec un peu de chance, on peut même croiser un béluga!» Les amateurs de randonnées peuvent en faire à cheval, sur la grève à marée basse, ou enfiler de bonnes chaussures de marche et s’offrir la montée du sentier des Chutes, qui fait cinq kilomètres… en pente, bien sûr! Les plus courageux auront un défi à relever: l’ascension sur 13,8 km de la montagne Blanche. Là-bas, auberges et gîtes accueillent les visiteurs dans des maisons souvent centenaires. Et si on veut vivre à fond l’expérience du plein air, on se rend au Camping de l’Anse (campingdelanse.ca), qui longe la rivière Saguenay.
Les musts: «Acheter un pain chez Louise, la pâtissière du village, qui cuit sa pâte au four à bois, dans sa cour arrière. Et traverser le pont couvert, un monument datant de 1929 [NDLR Celui qui figurait au verso des billets de banque canadiens de 1000 $, entre 1954 et 1992.]. Il a été rudement éprouvé par Dame Nature, mais il tient toujours debout!»
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