Il a d’ailleurs participé au spectacle Kings of the Dance – l’équivalent des Trois ténors dans le monde du ballet – et les invitations qu’il reçoit pour se produire sur les scènes du monde entier. «La danse, c’est comme l’air que je respire: j’en ai besoin!» lance ce surdoué qui a fait ses premiers chassés à trois ans et qui est devenu le danseur principal et chorégraphe associé du Ballet national du Canada.

On pourra découvrir le talent de ce virtuose sous toutes ses facettes à la soirée d’ouverture du Festival des arts de Saint-Sauveur: en solo dans Body of Work, une oeuvre qu’il a élaborée sur la Symphonie n° 7 de Beethoven; en duo avec Svetlana Lunkina, l’ancienne prima ballerina du Bolchoï, dans un extrait du chef-d’oeuvre romantique Giselle; et avec ses camarades du Ballet national dans Dance Me to the End of Love, une chorégraphie qu’il a créée sur la musique de Leonard Cohen. «Les chansons de Cohen marient mort, amour et religion… souvent avec humour et ironie, dit-il. On retrouve cette même panoplie de thèmes émotifs dans ma pièce.» Attendez-vous à voir des étoiles le 31 juillet sous le Grand Chapiteau, à Saint-Sauveur.  

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