Avec ses yeux de chat, ses pommettes saillantes et sa silhouette longiligne, Benedict Cumberbatch pourrait incarner un aristocrate du 19e siècle sans le moindre effort. Or, au cinéma, il ne cesse de nous étonner par des personnages tout en contrastes. On l’a vu en maître d’esclave dans 12 Years a Slave, en surhumain tyrannique dans Star Trek Into Darkness, en dragon terrifiant dans la trilogie The Hobbit, en fondateur controversé de WikiLeaks dans The Fifth Estate… L’acteur britannique de 37 ans, déjà une star dans son pays, est devenu en 2013 la nouvelle coqueluche de Hollywood.

Ce succès, ce redoutable caméléon l’attribue entre autres à son physique atypique. «C’est une bénédiction d’avoir un visage étrange, une espèce de croisement entre celui d’une loutre et quelque chose de vaguement attirant», a-t-il lancé en boutade au magazine The Hollywood Reporter. Sa beauté hors norme (et son curieux patronyme) ne l’a pas empêché d’être cité parmi les hommes les plus séduisants de la planète. Et sa popularité est telle auprès de la gent féminine qu’on a baptisé ses admiratrices les «Cumberbitches».

Ce mois-ci, l’élégant acteur enfile pour une troisième saison l’imperméable du célèbre détective Sherlock Holmes dans l’audacieuse télésérie Sherlock, présentée à l’antenne d’ICI Radio-Canada Télé. Parions que plusieurs d’entre nous auront le regard rivé à leur écran les vendredis 2, 9 et 16 mai, à 21 h.  

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