Qui souhaitez-vous repêcher parmi vos fans en créant cette télésérie?

On vise défilitivement la clientèle des gens qui ont un téléviseur. En partant, c’est un gros positif qui est pas à dénigrer. On vise aussi les gens qui veulent en connaître un peu plus sur mes dessous, ainsi que ceux de ma femme Shannon, qui est toujours là pour m’épauletter. Je pense que la série est pas juste une incrustation dans le monde du hockey; c’est aussi l’histoire d’une famille qui tente de s’intégrationner dans un nouveau milieu.

Avez-vous subi quelques mises en échec durant le tournage? Y a-t-il eu du brasse-camarade?

C’est certain que d’avoir une caméra à l’intérieur de ton intimité, c’est pas toujours divident. Y a des moments où t’as le goût de prendre la caméra et de la tirer au bout de tes bras. Mais quand les réalisateurs m’ont dit le prix de la caméra, j’ai rebroussé le chemin dans le sens du poil. Mais grosso motto, le tournage s’est passé comme sur des patins à roulettes.

Dans votre vie amoureuse, vous êtes-vous déjà retrouvé en désavantage numérique?

Shannon et moi, on aime ça jouer à force égale côté horizontal. Mais dans ma carrière, j’ai vu beaucoup de mes coéquipiers à qui c’est arrivé de se retrouver 
dans un deux contre un sur la patinoire, et à ce moment-là, la patinoire c’était un matelas dans un hôtel du Minnesota. J’ai même déjà vu un trois contre un en Floride, mais je ne nommerai pas de nom, juste un numéro. Le 27. (dès le 4 mai, sur les ondes de Super Écran)  

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