Travail
10 façons d’économiser pour se payer un petit luxe cet été
par : Elisabeth Massicolli- 27 avr. 2017
Des lunchs tous les midis j’apporterai.
Acheter un sandwich à 8 $ tous les jours de la semaine, ça équivaut à environ 2080 $ par année. Qu’est-ce qu’on ferait avec tout cet argent si seulement on ne l’avait pas dépensé en jambon-fromage -sur-pain-plat? Ça fait mal au cœur d’y penser. Fini, donc, les lunchs au resto. On cuisine nos propres repas du midi en s’inspirant de blogues de cuisine comme Cuisine estudiantine, de magazines de bouffe ou de livres de recettes. Au final, c’est 40 $ de plus dans nos poches chaque semaine!
Les restos avec parcimonie je visiterai.
Manger au resto est un luxe qui devrait rester… un luxe! Entre nos visites des nouvelles bonnes tables de la ville, on cuisine. En plus d’être meilleur pour la santé, le résultat peut être aussi bon qu’à notre resto favori… ou presque! Pour se motiver et faire le plein de délicieux produits, on s’inscrit à un panier de légumes frais et bios, comme celui des fermes Lufa. Avoir un frigo qui déborde de légumes croquants et de fruits juteux, ça donne envie de s’improviser chef — et même d’inviter nos amis à venir déguster nos créations!
Les ventes seconde-main, je fréquenterai.
Quand on a envie d’ajouter quelques pièces à notre garde-robe sans faire un trou dans notre portefeuille, les vêtements seconde-main viennent sauver la mise! On part à la chasse au trésor dans les sous-sols d’église, dans les ventes seconde-main organisées par des blogueuses ou alors dans des magasins comme le Renaissance, le Village des valeurs ou l’Armée du salut. Un look unique à mini-prix? On dit oui.
Un budget, je tiendrai.
Pour mieux économiser, se faire un budget est essentiel. Voyez comment vous y prendre comme une pro ici!
Des activités gratuites, je profiterai.
À Montréal, à Québec ou même en région, nos villes regorgent souvent d’activités gratuites: des expositions, des concerts, des activités sportives et familiales qui valent le détour et dont on oublie souvent de profiter. Pas d’activités gratuites en vue pour le weekend? On peut toujours profiter des parcs! Un pique-nique, quelqu’un?
Les achats impulsifs j’éviterai.
On craque pour un sac à paillettes? Des lunettes solaires rose bonbon? Un chapeau vintage en velours? Avant d’arrêter notre choix, on réfléchit. Quelques minutes, c’est bien, mais quelques jours, c’est encore mieux! Et on se pose la fameuse question: en ai-je vraiment besoin? À prendre en compte: le cost per wear, ou le coût par fois portée. Notre belle jupe à frange à 100 $ ne nous servira que durant la saison des festivals? Mieux vaut l’oublier, et acheter une pièce plus intemporelle qu’on saura remettre à plusieurs occasions. On peut aussi ne rien acheter du tout, et fouiner directement dans notre propre garde-robe afin de trouver l’ensemble parfait pour Osheaga!
Mes deux pieds j’utiliserai.
C’est l’été, il fait chaud, il fait beau… Pas question de prendre l’auto! Ou un Uber, ou un taxi. Si la température et la distance nous le permettent, on essaie de faire un maximum de ses déplacements à pied, à vélo ou, à la limite, en transports en commun. En plus d’être meilleur pour la santé et l’environnement, ça nous permet de sauver des sous sur l’essence, le stationnement et l’entretien de la voiture. #win
Mes priorités je réviserai.
A-t-on vraiment besoin d’un forfait de cellulaire à 90 $ par mois? De 300 chaînes télé? De cet abonnement à Netflix ou à Spotify? De ce forfait bancaire qui nous inonde de frais tous les mois? On remet en question nos besoins, on s’informe sur d’autres options plus économiques, puis on ajuste nos paiements en conséquence. Des économies faciles qui ne changent pas trop notre rythme de vie!
L’alcool avec modération je boirai.
Boire de l’alcool, c’est agréable, surtout quand le beau temps se pointe le bout du nez! Mais, même si on apprécie un verre de vin de temps à autre, on n’oublie pas que l’alcool, c’est mauvais pour la santé physique et mentale et… ça coûte cher! Suffit de couper quelques verres par semaine pour faire une fleur à notre corps et à notre portefeuille.
Un vide-grenier j’organiserai.
On arrête de jeter ou de donner nos biens, et on essaie de vendre ceux qui ont encore de la valeur en organisant une vente de garage, en utilisant les groupes Facebook de vente ou de troc, ou les sites web comme Kijiji ou Les PACS. Mieux? On organise une soirée switch & bitch avec des amies pour se débarrasser des vêtements qui traînent dans nos tiroirs et les remplir avec de jolies trouvailles!
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