Vous avez été nombreuses à soumettre la candidature d’une de vos proches pour notre concours Femmes de l’année. Autant vous dire tout de suite qu’on a eu du mal à nous contenter d’une seule gagnante (sa photo et son histoire figurent dans le numéro de mars de ELLE QUÉBEC). Voici donc dix autres femmes, dix histoires qui nous ont touchées et inspirées. Merci de nous les avoir fait connaître.

Pour voir toutes les candidatures que nous avons reçues, cliquez ici.  

 

 






f-388.jpgLysanne Blouin

Candidature soumise par: sa collègue et amie Karla Jimenez

Cette amoureuse de l’environnement a su convaincre les dirigeants de l’entreprise pour laquelle elle travaille d’adopter un plan vert (recyclage de fibres, plastique, verre, métal et petits appareils électroniques) et de sensibiliser les employés à l’importance de l’appliquer. Sa passion l’a même menée, l’an dernier, à entamer un certificat en environnement. «Lysanne travaille à faire un monde meilleur, jour après jour. Elle contribue à sauver la planète à sa manière, soit une goutte d’eau à la fois», souligne Karla.

 

 

f-yvette-1.jpgYvette Bernier

Candidature soumise par sa belle-fille, Karine Lavallée.

À 69 ans, cette retraitée de l’enseignement consacre plus de 40 heures par semaine à faire du bénévolat, entre autres pour le Regroupement littéraire jeunesse de Saint-Ours, qui organise depuis deux ans un concours de littérature pour les jeunes de 6 à 18 ans. Son dévouement lui a valu de recevoir en 2009 le Prix du Gouverneur général pour l’entraide. «J’espère de tout cœur être aussi active qu’elle quand j’aurai son âge», confie Karine.

 

 

f-nadia-dugauay-nepal-1.jpgNadia Duguay 

Candidature soumise par sa mère, Suzanne Bond

En plus d’enseigner en milieu carcéral depuis 2006, cette Montréalaise de 30 ans a cofondé un organisme spécialisé dans la réalisation de projets socioculturels – entre autres dans la production de documentaires à caractère humanitaire -, qui a remporté en 2009 une Médaille de la paix des YMCA du Québec. «Elle n’arrête jamais et continue de nous éblouir», affirme Suzanne «qui est très fière d’elle».

 

 

 

 

f-andreanne-chiasson-1.jpgAndréanne Ethier Chiasson

Candidature soumise par : sa sœur, Marie-Eve Ethier Chiasson

«De la dynamite sur deux pattes». Voilà comment sa sœur Marie-Eve décrit cette ancienne adepte de planches nautiques et à neige. C’est d’ailleurs les risques liés à la pratique des sports extrêmes qui ont mené Andréanne à découvrir sa vocation: la chiropratique. En plus d’avoir participé à des missions humanitaires en Amérique du Sud et d’être propriétaire d’une clinique chiropratique à Saint-Sauveur, cette chiropraticienne de 25 ans donne des conférences pour motiver les adolescentes à pratiquer des activités sportives.

 

 

 

f-2.jpgJanick Martin

Candidature soumise par son amie, Justine Gauvin-Marchessault

À 29 ans, Janick travaille à l’implantation à Saint-Hyacinthe d’une filiale d’une entreprise espagnole de restauration, complète son MBA, fait du bénévolat pour la Société de l’arthrite, entre autres, et trouve même le temps de courir des marathons pour amasser des fonds pour cet organisme. Son amie Justine affirme qu’elle est aussi parvenue à initier à la course à pied plusieurs membres de son entourage : «Tous les samedis matin, à 8h30, elle dirige avec entrain son joyeux groupe de coureurs pour un parcours de 5 km dans les sentiers boisés de Saint-Hyacinthe.»

 

 

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f-8.jpgJacinthe Perron

Candidature soumise par sa fille, Annie Simard

Environ une fois par mois, cette préposée aux bénéficiaires de 59 ans organise à ses frais des soirées thématiques pour les patients souffrant d’Alzheimer d’un centre pour personnes âgées de Jonquière. Elle se fait un plaisir, à l’automne, de préparer une tarte aux pommes ou, à chaque 24 décembre, d’organiser un réveillon où elle offre à chacun un présent. «L’effet sur ces gens est magique», déclare sa fille Annie. «Étonnamment, ils se souviennent de ces soirées même si certains sont à un stade très avancé de la maladie.»

  

 

f-danielle-daneault-1.jpgDanielle Danault

Candidature soumise par : son employée, Lucie Charbonneau

Cette femme d’affaires de la Rive-Sud de Montréal a créé il y a 10 ans un concept de conditionnement physique en plein air qui compte aujourd’hui 33 franchisés. En plus d’investir dans la cause de la Fondation des maladies du cœur, cette sportive de 48 ans exerce bénévolement du mentorat auprès de jeunes femmes d’affaires. «Danielle est la preuve qu’en partageant son expérience, en donnant de son temps et en encourageant des relations gagnant-gagnant, on peut faire une différence», affirme son employée Lucie.

 

 

f-rachel.jpgRachel Angrignon

Candidature soumise par : son mari, Philippe Picard

En 1980, suite à l’accouchement difficile de son fils, Rachel développe la polyarthrite inflammatoire. Malgré sa maladie, elle crée trois ans plus tard l’organisme Horizon Femme de Saint-Eustache qui donne des soupers-conférences lors desquels des femmes partagent leurs expériences personnelles et professionnelles. En 1995, Rachel reçoit la médaille de l’Ordre du Canada pour avoir fondé cet organisme qui compte aujourd’hui 430 membres. «Ce que j’aime de cette femme, c’est qu’elle n’a jamais cessé de sourire à la vie», confie son mari.

 

 

f-roxanne-vallieres-1.jpgRoxanne Vallières

Candidature soumise par sa sœur, Helen Vallières

Malgré son célibat, cette originaire de Windsor s’apprête à adopter son troisième enfant en provenance de la Chine. Cette femme indépendante de 40 ans subvient seule aux besoins de ses enfants et refuse même qu’on l’aide pour défrayer les traitements de son fils atteint de paralysie cérébrale. Selon sa soeur Helen: «Roxanne ne veut rien demander à personne, mais elle est la première à donner». Elle aide une autre mère dans le besoin, s’occupe de la campagne électorale de son père, donne à des téléthons et s’implique dans divers clubs sportifs.

 

 

f-andree-claude-perry-1.jpgAndrée-Claude Perry

Candidature soumise par ses filles, Audrey, Maude et Méganne Perry Mélançon

Sa carrière dans le réseau de la santé n’a pas empêché cette femme de 45 ans de mener à terme un projet qui lui tenait à cœur : l’ouverture à Gaspé d’une auberge de 16 chambres. Pour ce faire, Andrée-Claude a joué au cours de l’année à la comptable, à la contremaître, à la décoratrice et à la gestionnaire, et a même obtenu un diplôme de 2e cycle en gestion à l’Université Laval. «Elle nous a appris par son exemple à dépasser nos limites et à en être fières», soutient sa fille Audrey.

 

 

 

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