Apprenez à dire non

Durant le temps des fêtes, il y a un mot à retenir: «Non». Parce que non, on n’a pas le temps (ni toujours l’envie ou l’énergie) de tout faire. On choisit les activités et les événements qui nous font du bien, et on laisse tomber le reste, même si ça déplaît à certains! Tante Giselle nous invite à son brunch du réveillon, mais on a plutôt envie de dormir tard et de passer du temps en famille? On dit non. Nos amies fêtent le jour de l’an en grand, alors qu’on rêve de le passer en pyjama devant la télé? On dit non. Vous verrez, une fois que vous réussissez à prononcer ce mot magique, tout devient plus simple

 

Établissez vos priorités

Dans le même ordre d’idée, on dresse une liste de nos priorités. Passer du temps avec notre famille? Voir nos amis? Prendre du temps pour nous? C’est à nous de voir où on veut mettre notre énergie pour passer des fêtes qui nous conviennent, et qui ne nous rendront pas fous!

 

Soyez indulgent (envers vous-même et les autres)

Dans la tornade des réceptions de Noël et du jour de l’An, il se peut très bien qu’on coupe les coins ronds à certains endroits: sur le ménage, sur notre diète équilibrée, sur notre sommeil, sur le temps qu’on consacre exclusivement à notre chéri ou à nos enfants, sur notre budget…. et c’est parfaitement normal! On essaie de se pardonner et de ne pas trop s’en demander. D’ailleurs, on tente aussi d’être indulgent avec nos amis et les membres de notre famille qui, eux aussi, sont à bout de souffle!

 

Allez prendre l’air

Durant les vacances, on va jouer dehors! Faire du sport, on le sait, nous aide à contrer le stress et la déprime qui peut accompagner le temps des fêtes. Et pas besoin d’aller loin ou de sortir son portefeuille! On prend une marche emmitouflés dans un manteau chaud, on monte une montagne (voire le Mont-Royal) ou on enfile ses patins à glace par une belle journée ensoleillée. Un peu de vitamine D ne peut nous être que bénéfique!

 

Communiquez

Si, pour une raison ou une autre, vous sentez que le temps des fêtes sera difficile à traverser, parlez-en. Vos proches pourront ainsi porter une attention particulière à votre bien-être. On s’attend souvent à ce que les autres, surtout nos amis et notre famille, devinent nos besoins, alors qu’il est si facile – et beaucoup plus simple – de les communiquer.

 

Exprimez votre gratitude

Il est facile de tomber dans la négativité durant les fêtes de fin d’année: on manque de temps, nos beaux-parents nous énervent, on se sent seul, on déteste faire du small-talk dans les partys, notre budget est serré, etc. On essaie alors de se rappeler toutes les petites choses qu’on apprécie de ce temps de l’année, même si ce ne sont que de détails! L’odeur du sapin, la tourtière de notre grand-mère, cette jolie robe qu’on va pouvoir porter pour la première fois… La gratitude, ça commence par des petites choses!

 

Prenez du temps pour vous

Comme on dit, «la cruche ne peut verser que ce qu’elle contient». Si on a les batteries à plat, c’est difficile de donner notre attention et notre énergie à nos proches. On prend donc du temps pour relaxer et prendre soin de nous. Un bain moussant bien chaud, une sieste devant le foyer, un bon livre accompagné d’un café, une séance de yoga matinale… L’important, c’est de se faire plaisir!

 

Dormez sans culpabilité

Les vacances sont aussi faites pour… ne rien faire du tout! À nous les siestes et les grasses matinées. Bien entendu, on profite de ces heures de sommeil sans culpabiliser: c’est tout à fait normal — et sain — d’avoir envie de se reposer.

 

Buvez avec modération

Durant le temps des fêtes, on boit souvent plus qu’à l’habitude. Cocktails, vin, champagne, café au Baileys; toutes les occasions sont bonnes pour prendre un verre. Cependant, on se rappelle de fêter avec modération, puisque l’alcool est un dépresseur — et que personne n’a envie de passer ses vacances avec un mal de bloc perpétuel.

 

Consultez un professionnel

Si on sent que notre déprime n’est pas que passagère, et que, malgré nos efforts, on a de la difficulté à voir la lumière au bout du tunnel, on n’hésite pas à consulter un psychologue — et rapidement! C’est la meilleure façon de s’aider. 

 

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