Portons la culotte!

Gap, marque championne du look décontracté, nous habille maintenant pour toutes les occasions: du bureau à la soirée branchée. À la suite du succès de sa collection de denim haut de gamme, le géant propose des pantalons chics, cool et élégants. Les finis sont raffinés, et les tissus modernes et extensibles assurent une silhouette fluide, féminine. Quant aux coupes, il y en a pour tous les goûts: ultramoulante, garçonne, tailleur, semi-évasée, kaki classique… Et les prix? Franchement tentants: de 59,50 $ à 69,50 $.

Photo: Gracieuseté de Gap

trusst-200.jpgTrusst, un must

Les fashionistas se passent le mot: la galerie-boutique montréalaise Trusst, fondée par les directeurs artistiques et stylistes Andrew Ly et Melissa Matos, fait cohabiter l’art et la mode avec maestria. On y court pour les vêtements de designers émergents ou établis, comme le Londonien Derek Lawlor, le Montréalais Dane Richards, le Torontois Jeremy Laing ou même Melissa Matos, designer de bijoux pour Powerhaus. Les dirigeants de l’endroit offrent plusieurs services, dont l’organisation de vernissages, de défilés ou la création d’une image de marque. (À partir de 50 $ pour un t-shirt ou un bijou; www.trusstclub.com)

Photo: Gracieuseté de Trusst

 

 

YSLnu-450.jpgSaint Laurent mis à nu

En 1971, Yves Saint Laurent se dévêt devant l’objectif de son ami, le photographe français Jeanloup Sieff. C’est le couturier lui-même qui a l’idée (de génie) de poser comme un modèle d’atelier pour la publicité de l’eau de toilette pour hommer YSL. À l’époque, ce cliché d’une beauté épurée a fait scandale. Aujourd’hui, on peut découvrir la série de nus réalisés par Jeanloup Sieff dans l’ouvrage intitulé Yves Saint Laurent mis à nu – Inédits et portraits rares. Une oeuvre saisissante préfacée par Pierre Bergé. (76 $; Albin Michel)

 

 

ET… on n’oublie pas!

Une ville, un style

Rendez-vous obligé des mordues de mode: Montréal et la mode: tant d’années ont défilé, une exposition qui se tient jusqu’au 29 octobre à la Place Ville Marie, un édifice-culte à l’aube de ses 50 ans. Au programme? Des collections vintage, des photos, des vidéos et des artéfacts permettant de retracer l’évolution de l’industrie de la mode montréalaise des années 1850 à aujourd’hui. On y aborde entre autres l’histoire des manufacturiers, des grands magasins, des créateurs et des mannequins. Entrée libre. Info: www.placevillemarie.com

 

À lire: Coco Cocoon, le sac de l’automne 2010!