1. On a beau le savoir, s’en douter, ce festival est mythique. Et quand je dis mythique, je suis vraiment sérieuse. C’est comme prendre une bonne droite dans le plexus! À la différence qu’à Cannes, c’est Mohamed Ali qui vous la balance.

2. Le festival ne serait plus ce qu’il était. Peut-être, mais pour le commun des mortels comme moi, c’est my-thi-que. Je me répète, non?

3. Couvrir le festival, c’est grisant et épuisant. Je n’ai vécu que trois jours (sur huit) comme mes confrères journalistes de cinéma et je suis sur les genoux. J’admire sincèrement ceux qui le couvrent pendant les 12 jours.

4. On m’avait prévenue, je le savais. À Cannes, faut y aller mollo. Je n’ai pas écouté. Je suis sortie tous les soirs pendant les quatre premiers jours. J’ai vécu l’expérience à « donf », comme on dit ici. J’en paie le prix: cernes de déterrée et rides du lion installées (je pense sérieusement au botox!)

 

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