Ses chaussures

Que ce soit à l’occasion d’une soirée huppée à Hollywood, d’une course hippique ou simplement d’une balade à la plage avec son nouveau chien, Lupo, Kate Middleton a toujours aux pieds les chaussures appropriées. Pour assister à des événements formels, la duchesse opte pour des escarpins classiques, la plupart créés par des designers britanniques tels que LK Bennett et Rupert Sanderson. Très «terre à terre», la future reine fait son magasinage confortablement chaussée de ses ballerines préférées, créations de London Sole, petite cousine britannique de Repetto. Et lors des parties de chasse et des promenades dans la nature avec son compagnon canin, Kate ne craint pas de se salir, puisqu’elle enfile un véritable classique britannique: la botte de caoutchouc. La marque anglaise Le Chameau, qui existe depuis 1927, est sa favorite.

 

Ses sacs à main

La duchesse, qui est surtout attirée par les chaussures, ne possède qu’une poignée de sacs. C’est probablement pour cette raison qu’elle choisit toujours des intemporels. Par exemple son Polly à fermeture poussoir, de Mulberry, un modèle noir très simple avec lequel elle a voyagé au Canada l’été dernier. Le D-Bag, de la maison Tod’s, nommé en l’honneur de la princesse Diana, est un autre classique que Kate adore – un bel hommage à sa défunte belle-mère. Souvent, la duchesse se contente d’une jolie pochette, puisque, on s’en doute bien, la future reine d’Angleterre n’a probablement pas besoin de trimballer mille choses sur elle. Elle se tourne alors volontiers vers celles de LK Bennett, dont elle possède un modèle de chaque couleur ou presque! Lors de sa dernière visite chez nous, Kate a surpris tout le monde en s’affichant avec une pochette peu ordinaire signée Anya Hindmarch qu’elle avait combiné avec un bibi à feuille d’érable.

Ses bijoux

En matière de bijoux, Kate préfère les pièces discrètes. Évidemment, l’énorme bague que lui a offerte le prince William a plutôt tendance à voler la vedette, mais elle est souvent accompagnée de ravissantes boucles d’oreilles. Pour sa photo de fiançailles, la jeune femme a jeté son dévolu sur des pendants de Links of London ornés d’un diamant et ainsi adopté l’image de la princesse classique. Lors de sa première sortie à Hollywood, son choix s’est à nouveau arrêté sur des boucles de cette maison, sublimées cette fois d’un saphir d’eau. La duchesse craque aussi pour les créations de Kiki McDonough, une joaillière qui mélange les pierres semi-précieuses et les diamants purs. Lorsqu’elle a envie de couleurs éclatantes, elle se pare de pendants d’oreilles composés de citrines qu’elle a portés en plusieurs occasions, notamment au très chic derby d’Epsom.

 

Ses chapeaux

La duchesse sollicite toujours des artisans britanniques pour ses besoins en matière de couvre-chefs, s’aventurant même à participer à l’élaboration de ceux-ci. Le chapeau bleu qu’elle portait au 90e anniversaire du duc d’Édimbourg était de Rose Cory, une ancienne conceptrice de coiffures de la reine mère. La belle porte aussi régulièrement les créations de Rachel Trevor-Morgan, une des chapelières actuelles de la souveraine. Au mariage de Zara Phillips, Kate arborait un magnifique couvre-chef beige signé Gina Foster décoré de deux énormes fleurs. Lors de l’annonce publique de ses fiançailles, le charmant bibi à plumes de Vivien Sheriff dont elle s’était coiffée a été très bien reçu. Les participants du derby d’Epsom, quant à eux, ont été ravis de pouvoir admirer son petit chapeau de paille au style très estival dessiné par Whiteley Fischer. Les créations du légendaire Philip Treacy font aussi partie des favoris de la duchesse de Cambridge depuis qu’elle a porté l’une d’elles à la remise des diplômes de l’académie militaire du prince William, en 2006. Mais son chapeau le plus marquant demeure le fameux bibi à feuille d’érable imaginé par Sylvia Fletcher de Lock & Co, l’une des plus vieilles chapelleries de Grande-Bretagne – elle a été fondée en 1676. C’est donc sans surprise qu’on a vu la jeune femme se faire décerner le prix de la personne la mieux coiffée de l’année 2012 par la vénérable Headwear Association. Chapeau, Kate!

 

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