Cette année, dans l’édition de mars de ELLE QUÉBEC, on peut s’attendre à voir défiler dans les pages du magazine les créations de Renata Morales, Denis Gagnon, Jeremy Laing, Alfred Sung, Rad Hourani, Paul Hardy, Marie Saint Pierre, David Dixon et Mikhael Kale. Tous designers. Tous Canadiens. Et tous parmi les grands noms de la mode d’ici. Voici, en avant-première, le récit des coulisses de la séance photo et un
aperçu des photos ultra glam qui en ont résulté.

Le vêtement vole la vedette

Pour ce reportage, il importait avant tout à Denis Desro, rédacteur en chef mode des magazines ELLE QUÉBEC et ELLE CANADA, de mettre en valeur la complexité des créations des designers. Il a privilégié un simple fond blanc comme arrière-plan, de même qu’un stylisme très dépouillé ne risquant pas de détourner l’attention des vêtements. C’est pourquoi il a fait appel au photographe Nelson Simoneau, qui se spécialise dans la photo de mode en studio. «Nelson est un photographe qui aime beaucoup la mode et qui accorde autant d’importance au vêtement qu’il photographie, par exemple au bouffant d’une jupe, qu’à la mannequin qui le porte», explique-t-il.

Jeanne, une beauté avec du caractère

Jeanne, de l’agence Montage, convenait parfaitement pour incarner l’esprit romantique de la saison. C’est pour la douceur de ses traits et la force de son regard que Denis Desro a choisi cette mannequin originaire de Saint-Georges-de-Beauce. «On voulait une fille sexy qui avait une allure contemporaine, explique-t-il. Jeanne correspond tout à fait à ce qu’on cherchait: c’est une très belle fille qui, loin d’avoir un visage classique, possède une beauté avec du caractère.» Notre rédacteur en chef mode prédit d’ailleurs une brillante carrière à la jeune fille de 16 ans qui en est à ses premiers pas dans le milieu de la mode.

Mais les débuts de Jeanne sont fulgurants: elle a déjà posé pour la campagne de la ligne italienne Max Mara Sport et figuré dans le catalogue de la griffe française Céline. Denis Desro mentionne que la dynamique n’est évidemment pas la même lorsqu’on travaille avec une mannequin débutante et une top-modèle aguerrie.

«Lorsqu’on photographie une fille qui débute, on se consacre à la mettre à l’aise et à s’assurer qu’elle prend la bonne pose», affirme-t-il avant d’ajouter qu’il a été agréablement surpris par l’aisance naturelle de Jeanne devant la caméra.

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