Iel a conquis nos cœurs dans Queer Eye, où iel agit en tant qu’expert.e coiffeur.se, au fil de ses conseils beauté toujours prodigués avec humour, sensibilité et empathie, le tout parsemé de son emblématique et retentissant «Yas queeeen!» Sa pétillante personnalité et sa répartie légendaire sont palpables sur les photos et les vidéos, tantôt hilarantes, tantôt engagées et touchantes qu’iel partage sur son compte Instagram, avidement suivi par quelque 5,2 millions de personnes. Il était tout à fait naturel qu’iel accepte maintenant le rôle d’ambassadeur.rice mondial bien-être pour la marque de soins Biossance, avec laquelle iel entretient une relation privilégiée depuis plusieurs années. «Quand la première saison de Queer Eye est sortie, un nombre impressionnant d’entreprises de soins pour la peau ont commencé à m’envoyer des produits, et je me disais: “Je suis au paradis!”, mais j’ai vite déchanté quand, à force de vouloir tout essayer, j’ai connu des poussées fulgurantes de psoriasis. Je devais utiliser des stéroïdes topiques, qui ont certes aidé ma peau, mais qui l’ont aussi laissée amincie et sensibilisée. C’est en intégrant la crème réparatrice Squalane + Oméga à ma routine que j’ai pu apaiser mon épiderme. Après coup, je suis devenu un inconditionnel de la marque!» confie la vedette de Queer Eye. C’est aussi la philosophie de Biossance, qui a mis au point une solution de remplacement au squalène – un actif principalement extrait de l’huile du foie des requins et qui est une des causes de la disparition de milliers de ces créatures marines chaque année – en créant un squalane écoresponsable à base de canne à sucre fermentée qui a conquis Jonathan. «Je trouve que Biossance fait preuve d’intelligence et de diligence en rendant sa production toujours plus durable et en changeant le modèle autour de la beauté clean grâce à des produits tout aussi efficaces – sinon plus! – que ceux du marché habituel, contrairement à ce qu’on voyait jadis.» Ce n’est pas pour rien que ce.cette coiffeur.se, animateur.rice et activiste a choisi Amyris, l’entreprise parente de Biossance, pour concevoir sa gamme de soins pour les cheveux, JVN Hair, qui vient tout juste d’atterrir sur nos rayons. «Je pense que le marché capillaire a bien du chemin à faire pour offrir plus d’options hautement efficaces et saines aux consommateurs – il y a encore de trop nombreux produits infusés de silicone et d’ingrédients qui plastifient la fibre des cheveux –, et j’ai eu envie de saisir cette occasion qui m’est offerte. La phase de création des prototypes, où on voyait le tout se mettre en place, était tellement excitante!»

L’étincelle qui brille dans les yeux de Jonathan Van Ness lorsqu’iel parle de coiffure s’est allumée pour la première fois lorsque, enfant, iel regardait le concours Miss Universe 1991 à la télévision. «Le petit JVN queer et non binaire que j’étais jubilait à la vue des cascades de cheveux bouffantes propres à la fin des années 1980 et au début des années 1990, rigidifiées sous des couches et des couches de fixatif. Je voulais ces coiffures sur ma tête!» se remémore avec enthousiasme Jonathan. S’iel est reconnu.e pour sa longue crinière luxuriante, son amour des manucures colorées et la créativité qu’iel insuffle à ses tenues en pigeant à sa guise dans les codes vestimentaires considérés comme traditionnellement «féminins» et «masculins», iel insiste toutefois sur le fait que son identité non binaire ne repose pas sur son expression de genre. «Mon identité de genre repose sur tellement plus que sur le fait que mon visage est maquillé ou non, ou que mes cheveux et mes vêtements ont l’air masculins ou féminins selon les codes de la société. Elle correspond au fait qu’au plus profond de moi-même, je n’ai jamais eu l’impression d’être entièrement homme ou femme. Et ce n’est pas que je ressente l’un ou l’autre de manière interchangeable. Je n’ai juste jamais eu le sentiment d’appartenir à ce système complet. Je pense qu’on attend souvent des personnes non binaires et transgenres qu’elles explorent l’expression de leur identité par les vêtements qu’elles portent ou par d’autres attributs physiques, mais pour moi, c’est un état d’esprit.» Ce sentiment l’habite d’ailleurs depuis sa jeunesse, mais jadis, Jonathan n’avait pas les mots précis pour décrire ce qu’iel vivait. Son souhait le plus cher, c’est qu’en tant que société, on rompe le lien qui lie l’expression de genre à ce à quoi on ressemble afin de couvrir le large spectre dans lequel notre identité peut évoluer. «Un homme cisgenre peut tout à fait s’habiller comme je le fais, et une personne qui s’habille comme un homme cisgenre [selon notre société] peut tout à fait s’identifier comme étant non binaire et utiliser le pronom iel, par exemple», conclut Jonathan.

«Je n’en reviens toujours pas que ce soit ça, ma vie, et que toutes ces incroyables occasions déferlent sur moi!»

Ce désir de voir les choses changer teintait déjà ses actions avant qu’iel ne soit sous les feux de la rampe, parce que Jonathan a toujours été très investi.e politiquement et socialement. Mais depuis le lancement de la première saison de Queer Eye, en février 2018, l’explosion de sa popularité lui a permis de toucher encore plus de gens. «Je suis de plus en plus à l’aise avec la plateforme que j’ai maintenant et avec la manière dont je peux utiliser ma voix en restant authentiquement connecté.e à ce que je suis. Par contre, je me mets énormément de pression, et j’ai toujours le sentiment que je devrais en faire plus, que je devrais en dire plus. Ça a même engendré des épisodes anxieux, voire dépressifs, par moments. Mais j’évolue constamment, tout comme la relation que j’entretiens avec les réseaux sociaux. J’essaie d’être plus alerte quand la pression est trop forte et que je suis déconnecté.e de ma compassion et de ma paix intérieure… comme quand je me surprends à répondre à des partisans de Trump qui aboutissent dans ma messagerie Instagram et à les insulter, alors que je sais bien que ce n’est pas ainsi que je vais changer leur mentalité», dit Jonathan, qui, en plus d’alimenter son compte Instagram personnel (@jvn), anime son balado Getting Curious with Jonathan Van Ness et la page Instagram du même nom (@curiouswithjvn).

Au bout du compte, Jonathan célèbre plutôt l’effet incroyablement positif de Queer Eye sur le cours de son existence: «Je n’en reviens toujours pas que ce soit ça, ma vie, et que toutes ces incroyables occasions déferlent sur moi!» C’est avec beaucoup de bonheur qu’iel a d’ailleurs pu retrouver les autres membres du Fab Five pour le tournage de la sixième saison de l’émission le printemps dernier: «Il y a tellement de choses qui ont changé durant la pandémie – je me suis marié.e, et Tan a eu un bébé, entre autres!» Ces relations humaines qu’iel entretient complètent l’idée qu’iel se fait de la notion de self-care, outre la coiffure, les soins pour la peau, ses chats, et la broderie et le jardinage – deux nouvelles passions qu’iel a découvertes pendant la pandémie, alors qu’iel a momentanément dû mettre la gymnastique et le patin artistique sur pause à cause des mesures sanitaires. «C’est la relation qu’on entretient avec ce qu’on fait qui nous permet de nous sentir bien, authentiques et profondément heureux», conclut-iel avec sérénité.

La routine Biossance de JVN

«Tous les matins, je nettoie mon visage avec le gel nettoyant Squalane + Elderberry, puis j’applique la lotion Squalane + BHA – j’en suis vraiment accro depuis son lancement! – avant de poursuivre avec la crème contour des yeux Squalane + Algues marines – un produit qui a redonné à la peau délicate du contour de mes yeux l’apparence de mes 23 ans, alors que j’en ai maintenant 34! – et la crème réparatrice Squalane + Oméga. Je scelle toute cette hydratation sous un peu d’huile de rose Squalane + Vitamine C, puis je protège ma peau avec la crème solaire minérale Squalane + Zinc.»

Crème réparatrice Squalane + Oméga

Prix: 75 $

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Crème contour des yeux Squalane + Algues marines

Prix: 71 $

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Lotion tonique réductrice de pores Squalane + BHA

Prix: 37 $

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