Dans les dernières années, la popularité des agents de comblement facial n’a cessé d’augmenter et le discours autour de ceux-ci s’est de plus en plus démocratisé. Mais avant de suivre un traitement, il est primordial de s’informer adéquatement afin de faire un choix judicieux et d’obtenir un résultat harmonieux.

Notre chef de contenu beauté, Théo Dupuis-Carbonneau, s’est rendue à la clinique MunkMD, au centre-ville de Montréal, pour une consultation avec le Dr Roni Munk, dermatologue depuis près de 10 ans, et pour établir un plan de traitement d’agents de comblement facial JUVÉDERMMD personnalisé. Elle a accepté de nous parler du processus.

« J’étais curieuse d’essayer les agents de comblement facial, surtout après avoir passé la dernière année et demie à voir sans arrêt mon visage pendant les (trop!) nombreuses réunions Zoom à mon horaire. Je trouvais que j’avais l’air fatiguée, surtout à cause des poches sous mes yeux: elles semblaient s’accentuer depuis quelques années. Par contre, avant de faire le saut, je voulais m’assurer d’être entre bonnes mains, et, surtout, je voulais me sentir en confiance avec le professionnel qui allait effectuer le traitement. On n’a qu’un seul visage, après tout! Avant d’aller voir le Dr Munk, j’ai pris soin de consulter sa page Instagram (@munkmd) et j’ai tout de suite aimé ce que j’ai vu!», dit-elle. Et comment s’est déroulée sa rencontre? «Lors de mon premier rendez-vous, j’ai d’abord rencontré Victoria, une infirmière auxiliaire de la clinique, pour parler de mes désirs et de mes inquiétudes, avant qu’elle prenne des photos de mon visage. Ensuite, j’ai discuté avec le Dr Munk afin d’établir mon plan de traitement. J’ai insisté sur mes craintes – je voulais un résultat naturel qui me donne l’air reposée –, et il m’a rassurée. Puis il m’a expliqué en détail ce qu’il avait en tête pour mon plan de traitement. Il m’a proposé plusieurs produits de la gamme JUVÉDERMMD. Le plan de match? Travailler en douceur les contours de mon visage en redonnant du volume à mes pommettes (avec JUVÉDERMMD VOLUMAMC), remplir un tantinet le creux formé par les poches sous mes yeux (avec JUVÉDERMMD VOLBELLAMC) et améliorer la texture et le taux d’hydratation de la peau du bas de mon visage (avec JUVÉDERMMD VOLITEMC).» Théo souligne que tout au long de la rencontre, elle a senti qu’on était à son écoute et qu’on tenait compte de ses besoins. «Le Dr Munk me demandait si j’avais des craintes ou des questions, et il s’assurait que j’étais à l’aise avec son plan de traitement à toutes les étapes de la consultation.»

Le rendez-vous pour les injections a été fixé à la semaine suivante, afin que Théo puisse respecter les consignes prétraitement – ne pas consommer d’alcool ni certains suppléments alimentaires, etc. – afin d’obtenir le meilleur résultat possible. Voici comment elle a vécu la séance d’injection des agents de comblement facial JUVÉDERMMD: «Comme c’était la première fois que j’essayais ces produits, j’étais un peu nerveuse le jour J. Victoria a commencé par appliquer une crème analgésique sur l’ensemble de mon visage; puis, le temps de pause terminé, le Dr Munk est entré dans la pièce pour revoir une dernière fois avec moi le plan de traitement avant de commencer l’injection des agents de comblement facial. Côté douleur, c’était très tolérable, et même moins douloureux que j’avais anticipé. Ce qui est intéressant avec les agents de comblement facial JUVÉDERMMD, c’est que le résultat est visible immédiatement. D’emblée, j’ai pu voir que le Dr Munk avait respecté haut la main mon désir d’obtenir un résultat naturel. Trois semaines plus tard, je trouve que ma peau est absolument radieuse et mon regard plus éveillé.»

On a aussi pris le temps de discuter avec le Dr Munk et de recueillir ses réponses aux questions que lui posent le plus fréquemment ses patients à propos des agents de comblement facial.

Qu’est-ce exactement qu’un agent de comblement facial?

C’est un produit qui permet de redonner du volume à la peau, de lui restituer un taux d’hydratation qui lui apportera un boost de santé. Ça fait longtemps que les agents de comblement facial existent sur le marché. Les plus utilisés de nos jours sont à base d’acide hyaluronique. Cet acide est une molécule qui est naturellement présente dans la peau et qui lui confère du volume et l’hydrate. Avec le temps, on en perd graduellement. D’où l’intérêt de faire appel à ce type de traitement.

Est-ce que l’effet d’un agent de comblement facial est naturel?

Les gens craignent de ne pas avoir l’air naturels! Ce qui est important pour moi, c’est de comprendre le but que recherchent mes patients. Je commence par une bonne consultation pour comprendre pourquoi ils viennent me voir: certains veulent avoir l’air moins fatigués ou moins tristes, et d’autres veulent être la meilleure version possible d’eux-mêmes à mesure que les années passent. Pour obtenir des résultats naturels, il faut étudier le visage dans sa globalité et rechercher un équilibre et une symétrie entre les différentes parties du visage. D’où l’importance d’une consultation en profondeur afin d’établir un plan qui respecte ces proportions. Ainsi, les patients obtiennent un résultat exceptionnel!

Combien de temps l’effet d’un agent de comblement facial dure-t-il?

Ça dépend du produit utilisé et de la région traitée. JUVÉDERMMD VOLITEMC, dont on se sert pour améliorer l’hydratation et la qualité de la peau, va durer environ neuf mois[1]. La grande majorité des autres agents de comblement facial, qui travaillent plutôt sur le plan du volume, durera de 12 à 24 mois[2]. Je conseille toujours de faire un traitement d’entretien pendant que l’effet n’est pas encore complètement dissipé. En général, je vois tous les 8 à 12 mois les patients qui veulent maintenir le résultat de leur traitement.

Vous avez d’autres questions? Rendez-vous au https://www.juvederm.ca/fr/find-a-clinic pour plus d’information.


[1] Niforos F et al. Poster Presentation at Beauty Through Science (BTS) Congress, Stockholm, Sweden; 2017.
[2] Callan P et al. Clin Cosmet Investig Dermatol. 2013;6:81–89.; Jones D and Murphy DK. Dermatol Surg. 2013;39:1602–12.; Niforos F, Acquilla R, Ogilvie P, et al. Dermatol Surg. 2017;43(10): 1271–1280.

 

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