C’est quoi? Une méthode de maquillage qui s’inspire librement du contouring, sans pour autant en copier-coller les longues et diverses étapes. Ici, on joue aussi avec les volumes du visage, mais en ne mettant en avant que les points de lumière, à coups d’enlumineur (et en laissant donc tomber les traits de bronzeur qui creusent les joues et amincissent le nez ou la mâchoire).

À quoi ça sert? Contrairement à son grand frère le contouring, le strobing ne cherche pas à (re)modeler le visage, mais vise plutôt à faire ressortir certains traits et à donner de la structure et beaucoup de luminosité à la peau.

En pratique, il suffit d’appliquer un illuminateur (de préférence en crème, légèrement nacré et subtilement plus clair que son fond de teint) sur les zones qui captent la lumière en premier (arcades sourcilières, arête du nez, pommettes et arc de cupidon). Seul impératif pour obtenir un résultat optimal: s’assurer de réaliser le maquillage sur une peau bien hydratée et uniformisée par un fond de teint couvrant.

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Qu’est-ce qu’on en pense? Si la technique du contouring a de nombreuses adeptes, Kim Kardashian la première, il faut admettre qu’on doit posséder un doigté magique pour réussir à bien estomper les différents produits et nuances sur l’épiderme et ainsi éviter d’avoir l’air d’en faire trop. Le strobing, de son côté, paraît plus difficile à rater. Et qui ne rêve pas d’avoir un teint ultra-lumineux, gorgé d’éclat et en pleine santé?

Les bonnes sources d’inspiration? Le mot-clic #strobing sur Instagram ainsi que la chaîne YouTube de NikkieTutorials, alias la blogueuse et maquilleuse professionnelle Nikkie.

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