Italie (Fabrizio Palmieri, directeur de la création chez TONI&GUY): «Traîner partout avec soi des pinces plates et des élastiques, afin de pouvoir remonter ses cheveux en queue de cheval sexy quand ça nous chante. À noter: la couette n’a pas besoin d’être parfaite pour être réussie! Elle peut être basse ou haute, lâche ou enroulée sur elle-même, façon chignon minute. Pour peu qu’on s’applique un brin, on peut réussir à recréer un look similaire à celui des coiffures aperçues dans les plus grands défilés. Et si on manque de doigté, on se contentera de décorer notre tignasse d’accessoires: ils sont très à la mode ce printemps.»

Thaïlande (Pornthep «Rang» Wangpate, cofondateur de The Lounge Hair Salon): «Laissez vos cheveux en faire à leur tête! Parfois, un bad hair day nous donnera un air décontracté, naturel et sexy.»

Finlande (Miika Kemppainen, coiffeur): «Faites-vous un shampoing! Seuls des cheveux sales donnent lieu à un bad hair day.»

Australie (Renya Xydis, coiffeuse): «Il n’y a rien qu’un bon shampoing sec ne puisse régler. Que les tifs soient gras ou raplaplas, il suffit d’un pschitt suivi d’un coup de séchoir bien dirigé sur les racines pour rafraîchir la coiffure en lui redonnant corps et texture.»

France (Jean-Jacques Ayache, directeur de la formation chez Jean Louis David): «Le bad hair day est en fait un signal d’alarme! Il nous rappelle qu’il est temps de prendre rendez-vous avec son coiffeur, pour un traitement capillaire et une bonne coupe.»

Canada (Rodrigo Araneda, propriétaire du salon ÖLAb Coiffeurs): «Il suffit de détourner l’attention en amenant les autres à remarquer notre maquillage, notre tenue vestimentaire ou nos accessoires plutôt que notre coiffure.»

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