J’arrive chez Ballet Hop après m’être stationné deux fois au mauvais endroit (attention, l’adresse que Google Map nous indique n’est pas la bonne). Légèrement de mauvaise humeur — et un peu en retard — je me demande bien ce que je viens faire ici, moi qui possède autant de cardio, de souplesse et de force musculaire qu’un chat mort.

 

Quand j’entre dans le studio, je me sens tout de suite apaisée. Mon amie Vanessa m’attend à une petite table, installée près d’un comptoir où on sert jus frais, tartines et autres collations. L’ambiance est relaxe, la déco épurée. Le genre d’endroit où on se sent tout de suite à l’aise. 

 

On entre dans la grande salle, où aura lieu le cours. Une quinzaine de filles, de tous les âges et de physionomies diverses, se tiennent debout devant le grand miroir. La plupart d’entre elles portent de jolis chaussons roses (je suis jalouse!), mais notre instructrice, Stéphanie, nous rassure tout de suite: ça aide, mais on peut très bien suivre le cours sans. En bas, nous serons!

 

Durant la première partie du cours d’une heure quinze, on se réchauffe, on s’étire et on fait de la muscu sur des rythmes entraînants. Et quand je dis muscu, je dis: «J’aurai de la difficulté à monter les escaliers et à soulever mon café le lendemain». Pas de la petite bière — bien que notre instructrice nous encourage à aller à notre rythme tout en nous dépassant. Puis, pour la deuxième partie du cours, on passe à la barre. Au menu: pliés, pointés, mini-chorégraphies, étirements et révérences. Je dois l’avouer: je suis affreusement poche comme ballerine. Mais, comme toutes les participantes ne se prennent pas du tout au sérieux et que tout est fait dans la bonne humeur, j’ai quand même beaucoup de plaisir — en plus de suer autant que lors d’une habituelle séance d’entrainement au gym! Plus que ça: le cours m’a donné envie de m’améliorer. À preuve? J’y retourne la semaine prochaine. Allez, hop!

 

Pour plus d’informations ou pour vous inscrire à un cours, rendez-vous sur ballethop.com.