À mi-chemin entre la musique des Beatles et celle de Passe-Partout, le premier album de Tricot Machine, un duo formé de Matthieu Beaumont et de Catherine Leduc, crée une forte dépendance…

Ils ne sont pas «parfaits».
À l’heure où la plupart des artistes accouchent d’albums trafiqués en studio, Tricot Machine y va d’un son artisanal et d’arrangements quasi folkloriques: Catherine chante, Matthieu l’accompagne au piano. Une formule simplissime mais assumée. «Notre musique est sincère et elle vient du coeur!» atteste Catherine.

Ils font dans le «comfort song».
Le disque, riche comme un vieil album photos, regorge de chansons doudounes. Inspiré par la québécité et l’enfance, le duo réchauffe les coeurs avec des textes à la sauce Beau Dommage, aussi réconfortants qu’une p’tite laine un soir d’été.Ils sont tissés serré.
En plus d’être jeunes et beaux, Catherine et Matthieu transpirent l’amour, sur scène comme dans la vie. Peut-être pas une raison suffisante pour courir acheter leur CD… N’empêche. Ça fait tellement de bien à regarder!

Tricot Machine sera en spectacle du 1er au 4 août au Cabaret du musée Juste pour rire, à l’occasion des FrancoFolies.

À lire aussi dans Musique