On l’aime parce que…

1. Il n’a pas froid aux yeux.
Cet ancien ado introverti a fait éclater sa chrysalide grâce au théâtre. S’il n’est toujours pas de ceux qui, dans la vie, osent l’escalade extrême ou le parachutisme, sur scène en revanche, rien ne l’arrête: il a joué Néron dans Britannicus, un déficient intellectuel dans Les feluettes.

2. Il sait chanter.
En 2004, il nous a épatées dans la comédie musicale Frères de sang. Ce n’est pas étonnant car Benoît est tombé dans les arpèges quand il était petit! Enthousiasmé par cette expérience de théâtre chanté, il poursuit sa formation vocale et s’accompagne désormais au piano, ajoutant ainsi une autre corde à sa lyre.

Photo: SRC

 

3. Il a donné aux filles l’envie de se retrouver dans la peau d’un gai le temps d’une étreinte.
Disons simplement que la sensualité qu’il a insufflée à sa prestation dans Les hauts et les bas de Sophie Paquin – et notamment au baiser échangé avec le comédien Éric Bernier – n’est pas passée inaperçue… Et dire qu’il ne pensait pas avoir ce qu’il faut pour jouer les jeunes premiers! Rien de plus craquant qu’un beau gosse qui s’ignore.

Au Théâtre Jean-Duceppe du 31 octobre au 8 décembre, puis en tournée au Québec dès le printemps 2008