La robe

Aux antipodes du «bling-bling», la robe longue dessinée par la Française Marie Garnier a quelque chose de très spécial. Elle est faite de papier incrusté de graines de lin et de pavot blanc (non, ça ne pique pas, grâce à la doublure en coton). Après la cérémonie, plantez le vêtement dans la terre, où il produira un jardin de fleurs vivaces. Ce sera une belle métaphore de votre amour… si les fleurs ne se fanent pas. (Confection sur mesure, env. 4 000$; info: [email protected])

Vous trouvez que les robes qui sortent de la manufacture manquent d’âme? La marque écolo-chic Harricana peut recycler la tenue nuptiale de votre mère ou de votre grand-mère. Il vous suffit de l’apporter à l’atelier de Mariouche Gagné, de préciser ce que vous désirez changer, et hop! vous avez une robe toute neuve, mais pleine de souvenirs. (De 500$ à 10 000$; harricana.qc.ca)

Vous n’avez pas de robe blanche à recycler? Bhldn, la nouvelle gamme d’articles de mariage d’Urban Outfitters, regorge de modèles flambant neufs à l’allure vintage. Couleurs surannées, volants style années folles, imprimés mignons: on est loin de la montagne de froufrous classique. (De 300$ à 3 200$; bhldn.com)

 

Les bagues: perles d’amour et d’eau fraîche

Pavoiser avec un gros diamant au doigt, c’est tellement dernier siècle! Le joaillier Himo Martin, de Pearls Before Swine, crée plutôt des bagues en argent massif ciselé, surmontées de perles ou ornées de pierres semi-précieuses au fini brut. Ces bijoux s’enroulent deux fois autour du doigt, les perles ne sont pas trop tape-à-l’oeil, et le résultat est très rock. Martin propose aussi des modèles plus simples, parfaits pour les bagues de fiançailles. (De 500$ à 4 000$; pearlsbeforeswine.ca)

 

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