Saine de corps et d’esprit

«Après avoir remporté l’or aux Olympiques de Turin, en 2006, j’ai ressenti une énorme pression pour bien performer aux Jeux de Vancouver. Heureusement, j’ai pu compter sur le soutien de mon psychologue sportif, qui m’a proposé le biofeedback. C’est une technique qui se concentre sur l’interrelation entre le corps et l’esprit, et qui aide à contrôler la réponse physique au stress et aux émotions, ce qui, en retour, favorise l’équilibre mental. Pour décrocher, je lis ou je contacte ma famille et mes amis par Skype.

J’ai l’immense chance de voyager et de découvrir le monde en compagnie de mon amoureux, Dominick, qui est aussi mon entraîneur. Mon autre compagnon de voyage? Mon cahier à croquis, que j’emporte partout où je vais. Ma passion pour le dessin m’a d’ailleurs amenée à créer une collection de bijoux en collaboration avec la maison Birks, dont je suis aussi l’ambassadrice.

Je me dirige vers une carrière dans le domaine des affaires. J’étudie en ce moment en commerce à l’Université McGill et je fais en parallèle du travail philanthropique au sein de B2ten, une association qui aide les athlètes canadiens à performer au meilleur de leurs capacités. Je me suis également engagée dans Because I’m a Girl, un organisme international voué à la réussite des jeunes filles issues de milieux défavorisés.»


Photo: Malina Corpadean

Culture physique

«Les épreuves de la Coupe du monde de ski acrobatique [qui englobent la discipline des bosses] ont beau se terminer en mars, l’entraînement, lui, dure 11 mois par année, à raison de six jours par semaine. Ma matinée débute par une demi-heure d’échauffements, que j’effectue dans le chalet avant de m’élancer sur les pistes pour quatre heures de descente. Après la pause lunch, je fais une sieste de 20 à 60 minutes. Je retourne ensuite au gym pendant une heure ou deux. Au-delà de la course aux médailles, je nourris une véritable passion pour le sport. Je repousse chaque jour mes limites en vue d’atteindre la perfection.»

Soins de secours

«Je prends ma routine de soins très au sérieux. Je dois bien protéger ma peau, qui est sans cesse exposée au climat neigeux, froid et venteux des montagnes. J’aime beaucoup l’effet doudoune des produits Climatik, de Marcelle. En tant que porte-parole de cette gamme, j’ai eu l’occasion d’essayer les formules alors qu’elles étaient encore au stade du développement. J’ai pu tester leur efficacité dans les conditions climatiques les plus extrêmes, de la Terre de Feu aux glaciers suisses. Lorsque je ne suis pas en piste, j’apprécie le gel-crème hydratant 24 h Hydra-C, également de Marcelle. Il permet à ma peau de respirer même durant les séances d’entraînement, quand je transpire abondamment. Et quel que soit le programme de ma journée, je porte toujours un écran solaire et un baume à lèvres dotés d’un FPS d’au moins 30.»

Fards champions

«Ma mise en beauté varie en fonction de mon horaire. Si je me rends au gym, je ne fais que recourber mes cils et appliquer du mascara. Mais si je sors, je mets en pratique tous les trucs que les maquilleurs de plateau m’ont appris. J’utilise alors mes fards chouchous parmi la gamme Marcelle.»

Combinaison anti-froid

«Mon habillement doit répondre à plusieurs critères: il faut qu’il soit à la fois confortable, chaud, léger et à l’épreuve de l’eau. Les vêtements multicouches, dotés de doublures amovibles et de fentes, offrent la solution idéale. J’enfile des sous-vêtements longs confectionnés dans des matières extensibles qui laissent la peau respirer, et je chausse de longs bas minces, que je replie par-dessus mes bottes pour éviter que des plis inconfortables se forment. Enfin, sous mon casque, je garde mes oreilles au chaud grâce à un bandeau.

Photo: Wikimedia Commons

 

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